Mercredi 6 avril, Varzy => Châteauneuf-Val-de-Bargis.

Moi il me fait penser au penseur de RODIN

Mercredi 6 avril, Varzy => Châteauneuf-Val-de-Bargis.

Etape n° 23, caractérisée et vécue par nos deux compères comme idyllique : température idéale, ciel bleu, dénivelé nul, distance rappelant la balade, le tout effectué majoritairement en sous bois.

Bref, comme on le voit, tous les voyants sont au vert … surtout ceux du moral !

Après un lot d'émotions communes, Jean est parti ce matin. Ils savent dorénavant qu'ils devront vivre leur aventure plus souvent seuls … tous les deux.

Ils vont être privés de douces, voir profondes réflexions à propos de Jean. Réfléchissez plutôt à celle-ci :

Pourquoi Jean s'endort-il toujours avec deux bouteilles, l'une pleine, l'autre vide ?

Réponse : la vide, c'est quand il n'a pas soif.

Comme tout le monde sait, Le Compostelle est une vraie aventure :

Il y a les bas, comme hier soir lors de l'hébergement avec une ambiance chez l'habitant manifestement rude et inhabituelle.

Il y a aussi les hauts, comme hier soir, vécus grâce à quelqu'un rencontré dans la rue, un individu improbable, voir louche qui tout de go, sans chercher à comprendre a donné ses clés ainsi que son adresse à nos deux compères en disant : allez-y, faîtes vous à manger, faites comme chez vous !

Il s'appelle Alfonso. Qu'il en soit ici remercié.

Parmi les mauvaises -ce soir-même-, il y a aussi la secrétaire de Mairie qui mange les commissions pour l'hébergement !

Parmi les bonnes -de ce soir-, il y a, retrouvé grâce à la pertinence de nos deux compères, Monsieur le Maire (le patron de la précédente secrétaire) qui offre l'hébergement dans la salle des fêtes du village avec l'équipement au complet : cuisine, réfectoire, grande salle et peut-être sono si besoin est.

Qu'il en soit également ici remercié. Merci Châteauneuf.

Parmi les phénomènes étranges et somme-toute habituels dans ce périple, il y en a eu un aujourd'hui : cherchant leur chemin, j'allais dire pommés loin dans la nature, nos deux compères sont tombés nez à nez et coup sur coup sur 3 personnes pour leur indiquer le bon chemin !

Parmi les anecdotes vécues : celle de Yvon avec sa pharmacienne à qui il demandait du Mithosyl pour traiter son échauffement fessier. Celle-ci demandant à Yves, mais c'est pour mettre où ?

Et Yves, droit dans ses yeux, mais c'est pour me mettre sur le cul !

La petite histoire dît que la pharmacienne était mignonne.

Les deux étapes suivantes sont courtes, la forme est bien là pour tous les deux … peut-être demain '' deux en une'' ?

Merci à Sepp et Yvon de nous conter leurs trépidantes aventures.

Et, Ultreia !

Le blogger ne disposant pas des outils nécessaires, il n'y aura pas de photo sur le blog du jour.

J'en suis désolé.

Ne soit pas désolé Roro, j'en avais deux sur le coude,transmises par tel, merci pour le coup de pouce.